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Cerisier

Nos symptômes physiques ou psychiques parlent la plupart du temps de notre histoire

  • Photo du rédacteur: laurence dubois
    laurence dubois
  • il y a 6 jours
  • 2 min de lecture
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Nos symptômes physiques ou psychiques parlent la plupart du temps de notre histoire

Chaque douleur physique ou psychique est un état des lieux de notre vécu émotionnel actuel.

Notre corps nous informe et nous donne la voix à suivre.

Encore faut-il savoir l’écouter.

Dans un monde ou tout va trop vite, ou la performance est au centre de nos préoccupations au travail mais aussi dans notre vie privée (parentalité, sexualité, physique…)

La tendance actuelle et on peut l’entendre est de trouver une réponse immédiate à nos maux.

Il existe des réponses pharmaceutiques efficaces pour les douleurs chroniques, la dépression, les troubles du sommeil, de l’anxiété, les troubles de l’érection chez l’homme, pour perdre du poids, pour en reprendre…

Toutefois :

·         Si on se donne le temps de porter un autre regard sur ce qui nous arrive ou nous fait souffrir

·         Si on accepte de demander de l’aide à un Thérapeute et je sais à quelle point cette démarche peut sembler difficile

·         Alors on s’offre la possibilité de se débarrasser de ses symptômes qui ne sont que la partie immergée de l’iceberg.

Malheureusement de trop nombreuses personnes ont des idées fausses concernant les différentes psychothérapies.

La psychanalyse ?... trop long

Les thérapies comportementales ? ...trop ciblée

L’hypnose ? … ça ne fonctionne pas avec tout le monde

Les thérapies familiales ?... Comment réunir une famille conflictuelle ?...

Les thérapies intégratives ?... Tout le monde en parle mais est-ce efficace ?

Les thérapies brèves ? J’ai ce problème depuis longtemps alors il me faudra du temps pour le résoudre

Quelque soit le modèle thérapeutique proposé, ce parcours « initiatique » vers la guérison se définit tout d’abord par une rencontre : le thérapeute-le patient

L’alliance thérapeutique élaborée lors de la première rencontre détermine le désir de poursuivre ou non sa démarche.

Ce n’est pas parce qu’on n’est pas satisfait d’un praticien qu’on doit renoncer.

Il existe autant de thérapeutes que de modèles thérapeutiques.

Poussez une porte comme l’ont mis en évidence certaines études c’est déjà 50 % du chemin parcouru. Il reste 50% du chemin à faire avec le thérapeute de votre choix.

 

 

 

 

 

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