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L’Ejaculation Précoce ou prématurée : Le premier motif de consultation en sexologie

  • Photo du rédacteur: laurence dubois
    laurence dubois
  • 2 nov.
  • 1 min de lecture
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L'éjaculation précoce a été définie en 2008 par la Société Internationale de Médecine Sexuelle par l'association de trois critères : délai entre l'intromission du pénis et l'éjaculation inférieure à une minute, impossibilité de retarder l'éjaculation, sentiment d'insatisfaction ou de frustration de l'un des deux partenaires.

L'éjaculation prématurée est qualifiée de primaire si elle est ainsi dès le premier coït et secondaire si elle survient après une période de fonctionnement sexuel satisfaisant.

Elle peut être transitoire, intermittente, constante dans le temps, concerner tous les partenaires ou seulement quelques-uns[]. L'éjaculation précoce peut survenir à différents moments au cours de l'activité sexuelle.

Selon les individus, elle peut se produire lorsque les partenaires se dévêtent, durant les préliminaires, au moment de l'intromission du pénis, après quelques poussées pelviennes, peu de temps après le début de la pénétration. Dans ce dernier cas, cela peut varier entre quinze secondes à deux minutes

Un homme sur trois se plaint de ne pas parvenir à contrôler son excitation sexuelle.

Ce n ‘est à proprement parlé une maladie même si les laboratoires proposent un traitement : la Dapoxétine dont les effets sont tout à fait relatifs sans compter les effets secondaires.

Une consultation en sexologie peut permettre de prendre conscience des causes : angoisse de performance, difficulté d’apprentissage, focalisation sur des perceptions internes et non externes, difficultés conjugales quand le trouble est secondaire…

Le contrôle de l’excitation sexuelle nécessite un apprentissage en l’absence de troubles associés.

L’hypnothérapie peut s’avérer efficace.

 
 
 

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